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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 15:08

 

Le Monde : Le 17 décembre 2013

 

La CGT avait fait de leur cas une bataille emblématique de la défense des libertés syndicales et d'expression

 

Le tribunal correctionnel de Roanne (Loire) a relaxé mardi 17 décembre les cinq militants de la CGT qui étaient poursuivis pour avoir refusé un prélèvement ADN, estimant que ce prélèvement n'avait en réalité pas lieu d'être. A l'audience le 5 novembre, le parquet avait requis un mois de prison avec sursis à l'encontre des cinq prévenus, quatre hommes et une femme, fonctionnaires de la défense et agents hospitaliers.

 

En novembre 2012, ils avaient été reconnus coupables par la cour d'appel de Lyon de « dégradations en réunion », mais dispensés de peine, pour avoir inscrit des tags sur un mur en marge d'une manifestation contre la réforme des retraites en 2010.

 

Ils avaient notamment écrit « casse-toi pov'con », deux ans après que Nicolas Sarkozy, alors président de la République, eut lancé cette même invective à un visiteur du Salon de l'agriculture qui refusait de lui serrer la main. Ils avaient cependant été convoqués par la police et la gendarmerie pour être inscrits au fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), ce qu'ils ont refusé en mai, récoltant ainsi un nouveau procès.



                                        Les syndicalistes avaient écrit sur un mur « casse-toi pov'con »

           Videos-les-bains-de-foule-mouvementes-de-Nicolas-Sarkozy_w6.jpg

                                            -  Comment ça casse-toi ? Viens ici l'écrire !


 

Le tribunal de Roanne a estimé qu'un prélèvement ADN ne pouvait concerner que des personnes condamnées, alors que les cinq prévenus avaient été dispensés de peine. Le parquet général n'aurait donc pas dû requérir ce prélèvement et la justice ne pouvait donc pas leur reprocher de l'avoir refusé, selon le jugement. Le tribunal a également considéré que les gardes à vue du mois de mai étaient irrégulières. Les cinq syndicalistes encouraient un an de prison et 15 000 euros d'amende.

 

Le secrétaire général de l'union locale CGT du Roannais, Serge Lenoir, s'est félicité de ce jugement marquant, selon lui, « la victoire du raisonnable contre l'absurdité ». « La lutte menée par nos cinq camarades est aussi celle de tous les militants traînés devant les tribunaux », a-t-il réagi, alors que plus de 300 personnes, selon la police, s'étaient rassemblées dans le calme devant le palais de justice de Roanne au moment du délibéré pour soutenir les prévenus.

 

La CGT avait fait de leur cas une bataille emblématique de la défense des libertés syndicales et d'expression, qu'elle juge menacées par la « pénalisation » des mouvements sociaux. Le jour du procès, plusieurs milliers de militants CGT étaient venus de toute la France à Roanne pour les soutenir et réclamer une loi d'amnistie sociale.


 

                                                 Contrôle ADN:   La CGT est venue soutenir ses militants

      sarkozy-thibault 223

            - Bon Bernard, quand t'auras fini j'aurais besoin de ton verre pour faire un prélèvement !

 


 

Lors de ce rassemblement, le secrétaire général de la CGT, Thierry Le Paon, avait dénoncé « l'acharnement judiciaire » contre les cinq syndicalistes et reproché au gouvernement d'avoir « refusé le vote d'une loi d'amnistie sociale », un « signe désastreux envoyé au monde du travail par la nouvelle majorité ».

 

Cette proposition de loi déposée par le Front de gauche a été adoptée par le Sénat en février, avant d'être enterrée via son renvoi en commission à l'Assemblée nationale en mai. La CGT continue de l'exiger, ainsi qu'une loi qui instituerait « des droits nouveaux protégeant les militants syndicaux et progressistes qui agissent dans le cadre d'une action collective ».

 

Plusieurs militants syndicaux ont déjà été condamnés pour avoir refusé des prélèvements ADN. C'est le cas notamment du délégué CGT du fabricant de pneumatiques Continental Xavier Mathieu, qui s'était vu infliger en appel, en février 2012, une amende de 1 200 euros. Peine confirmée par la Cour de cassation en mars.

 

Lire l’article du « Monde »



 

                              affiche.jpg

 

 

 

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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 12:12

 

La médiathèque Jean-Pierre Melville a été fermée à cause d’une panne de chauffage

 

Le personnel de la bibliothèque Jean-Pierre Melville, rue Nationale (XIIIe), a exercé son droit de retrait jeudi en fin d’après midi en raison d’une panne de chauffage. « Il ne faisait que 12 degrés dans les salles de lecture » selon un communiqué de la CGT Culture.

 

La bibliothèque est restée fermée hier vendredi, mais a rouvert ce samedi après une première réparation. Les techniciens doivent néanmoins revenir mardi « pour consolider le système ». Espérons qu’il ne fasse pas trop froid d’ici là.

 

Le problème de chauffage est un mal récurent pour de nombreuses bibliothèques municipales parisiennes car lors de la dernière vague de froid qui s’est abattue sur la capitale, c’était près d’une dizaine de bibliothèques qui avaient dû fermer coup sur coup (lire ici).

 

La Mairie de Paris n’a plus qu’à prier pour que la météo reste clémente.


 

 

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Le Parisien: Vague de froid sur les bibliothèques parisiennes

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:28

 

Le Parisien : Le 10 décembre 2013

L’arrêt du Tribunal Administratif est sans équivoque et la municipalité doit même verser une indemnité

La ville de Paris a été condamnée le 21 novembre par le tribunal administratif pour non respect du droit syndical, décision notifiée la semaine dernière à la CGT.

Logés jusqu’à présent au centre Morland (IVe), les services administratifs de la direction de l’urbanisme et de la direction de la voierie vont être transférés fin juin au 121, avenue de France (XIIIe).

Seule ombre au tableau : flambant neuf, le nouvel immeuble de sept étages doté d’une terrasse, est dépourvue de local syndical, alors que la loi l’exige, en vertu du décret du 28 mai 1982. 

Ayant choisi de porter l’affaire en justice plutôt que d’octroyer l’espace syndical requis, la, Mairie de Paris a perdu. L’arrêt du Tribunal Administratif est sans équivoque : « il est enjoint au maire de Paris de prévoir pour la mise à disposition des l’union syndicale CGT des fonctionnaires et salariés des services territoriaux de Paris, un local syndical au sein du bâtiment ». (Lire ici)

La municipalité a en outre été condamnée à verser une petite indemnité au « syndicat CGT des cadres et techniciens des services publics parisien »

Lire l’article du « Parisien »

 

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 13:40

 

Le Point : Le 5 décembre 2013


Selon le site d'information Mediapart, cinq adjoints du maire de Paris occupent des logements sociaux dans la capitale !


Ils bénéficient de loyers deux, voire trois à quatre fois inférieurs aux prix du marché, mais assument. Comme le révèle Mediapart, cinq adjoints de Bertrand Delanoë logent dans des logements sociaux en plein coeur de la capitale. Rien d'illégal à cela, comme le remarque le site, qui précise qu'ils ont obtenu ces logements avant l'élection de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris, en 2001.


Jean Vuillermoz (PCF), adjoint aux sports, Liliane Capelle (PS) en charge des seniors, Pierre Mansat (PCF) chargé de "Paris-Métropole", Claudine Bouygues (PS), adjointe aux droits de l'homme, ou encore Didier Guillot (PS), responsable la vie étudiante, "tous expliquent qu'ils répondaient aux critères d'entrée, et qu'ils n'ont à ce titre bénéficié d'aucun privilège", précise Mediapart.


Pour un appartement de 53 m2, Jean Vuillermoz s'acquitte ainsi d'un loyer de moins de 300 euros par mois (hors charges) dans un immeuble situé près du métro Saint-Fargeau, dans le 19e arrondissement. De son côté, Pierre Mansat occupe un 75m2 dans le 12e pour la somme de 1 100 euros. Des prix bien plus avantageux que ceux du privé.


Mediapart cite enfin le cas de Catherine Vieu-Charier, adjointe (PCF) chargée de la mémoire et du monde combattant, qui jouit d'un logement de fonction dans une école maternelle dont elle n'est plus directrice depuis 2002. Après les révélations du Lab en novembre sur les logements sociaux occupés par deux de ses têtes de liste, Nathalie Kosciusko-Morizet avait promis que si elle devenait maire de Paris, aucun conseiller de la ville n'occuperait plus de logement social.


Anne Hidalgo s'est montrée plus circonspecte sur la question, souhaitant "créer une commission indépendante, avec des magistrats ou d'anciens magistrats, qui prendra au cas par cas des avis auxquels elle se pliera ", précise Mediapart.


Lire l’article du « Point »

 

 

 

                                       HLM: Un nouveau scandale à la mairie de Paris ?

 

                media_xl_3848541.jpg

      

                                                    - Ah, bienvenue au club !

 

 

                              

 

 

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Véronique Bédague, secrétaire générale de la Mairie de Paris, prendrait la tête de l’Agence des investissements français à l’étranger.

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 16:17

Livre Hebdo : Le 9 décembre 2013

Elle envisage qu’une bibliothèque par arrondissement reste ouverte le dimanche et que toutes étendent leurs horaires d'ouverture vers le soir.

La candidate socialiste à la mairie de Paris, Anne Hidalgo, a présenté dimanche son programme pour les élections municipales de mars 2014. Les bibliothèques  municipales parisiennes se voient consacrer une série de mesures.

Après avoir regretté la « légèreté » du programme de sa rivale Nathalie Kosciusko-Morizet sur iTélé en novembre dernier, la candidate socialiste à la mairie de Paris a dévoilé, dimanche 8 décembre, un livre numérique de 196 pages qui détaille ses propositions. Intitulé « Paris qui ose », il passe en revue les sept priorités établies par Anne Hidalgo, du logement à la sécurité, en passant par l’environnement et la culture, définie comme l’ « ADN de Paris ».

Plusieurs mesures concernent directement le secteur du livre, à commencer par les bibliothèques. La candidate souhaite y développer les espaces de co-working pour les étudiants, les prêts de liseuses et d’ouvrages numériques, ainsi que le portage à domicile pour les personnes qui ont des difficultés à se déplacer.
 
Elle envisage par ailleurs qu’une bibliothèque par arrondissement reste ouverte le dimanche et que toutes s'adaptent aux rythmes des Parisiens  en étendant leurs horaires d'ouverture, quand sa rivale de l’UMP mise sur une « révolution des horaires », proposant d’instaurer des nocturnes dans les bibliothèques municipales. En revanche, peu de nouvelles ouvertures sont annoncées.

Lire l’article de « Livre hebdo »

  

                     Anne hidalgo propose que les bibliothèques s'adaptent aux rythmes des Parisiens

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                        - Avec moi, ce sera Nuit Blanche tout les jours, y compris le dimanche !

 

 

 

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 08:28

 

 

Le Parisien : Le 4 décembre 2013

 

« A force de nivellement par le bas, la direction a obtenu ce qu’elle voulait » déclare un syndicaliste

 

« Les compétences des partenaires sociaux […] ne correspondent pas à ce que la direction peut attendre d’une entreprise comme Euro Disney » : ce verdict sans appel est extrait d’un rapport commandé à l’Institut supérieur du travail (IST) par le parc d’attractions.

 

Le but affiché de cette surprenante enquête née d’une volonté commune de la direction et des syndicats: améliorer le dialogue social « par le renforcement des compétences » des syndicalistes.

 

Se fondant sur les entretiens anonymes réalisés auprès de 54 représentants du personnel, le rapport, que nous nous sommes procuré, pointe la mésentente entre syndicats ou les motivations de certains élus, l’un d’eux avouant carrément ne rien attendre « du mandat d’élu CE (NDLR : comité d’entreprise). C’est juste un moyen de contrôle de l’entreprise ».    


 

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                                                    Eurodisney: Il y aurait mésentente entre les syndicats

 

                                  

Cependant, l’aspect le plus saignant concerne « le faible niveau des représentants du personnel », dont la plupart ont « un niveau de culture générale très bas ». L’IST note « des problèmes d’expression, d’orthographe et de compréhension ». D’où les nombreux dysfonctionnements du dialogue social. Les élus du personnel se disent en difficulté face à la direction : « On a en face de nous des gens […] qui sont formés, alors que, nous, on est cuisiniers. »

 

Persuadé que, pour aborder des questions complexes comme les risques psychosociaux, il faut des « notions dépassant celles nécessaires pour discuter des salaires », Daniel Dreux, vice-président d’Euro Disney chargé des ressources humaines, indique que l’état des lieux dressé par l’IST débouchera sur la mise en place de formations individuelles jusqu’à la fin 2015.

 

Du côté des syndicats, Djamila Ouaz, déléguée CFDT, organisation majoritaire chez Euro Disney, se dit « scandalisée par ce torchon ». « L’auteur nous présente comme des analphabètes ! » A la CGT, on assure avoir déjà « mis l’accent sur la formation des élus » face à « la complexité de l’entreprise », qui présente « plus de 500 métiers ».


 

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Pour Laurent Burazer, élu Unsa, ce rapport est un « écran de fumée » lancé par la direction, « pour ne pas régler les vrais problèmes ». Hervey Saumade, de FO, tempère : « Il faut accepter la critique, ce rapport offre un regard extérieur, il peut faire avancer les choses. »

 

Pour Pierre, élu du personnel, « ces résultats traduisent la triste vérité: nos syndicats sont incompétents », et il accuse la direction de ce nivellement par le bas. « Nos meilleurs représentants ont été virés ou découragés… » Là-dessus, Daniel Dreux rétorque qu’il n’y a eu qu’« un seul licenciement sur 450 élus pour un motif validé par l’inspection du travail ».

 

Nous laisserons la conclusion à Cyril Lazaro, syndicaliste chez Disney : « à force de nivellement vers le bas, la Direction a obtenu ce qu'elle voulait. Des syndicats aux ordres, signataires complaisants, déconnectés des réalités de l'entreprise et des salariés, et dont l'incompétence va s'étaler sur la place publique » peut-on lire sur son blog.

 

Lire l’article du « Parisien »



          

                                                           Eurodisney, une entreprise où il fait bon vivre

 

                      1969united-airlines-disneyland

                                     

                                                             

 

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 08:17

 

Ils sont même prêt accepter un départ à 65 ans !

 

Le syndicat Force Ouvrière ne donne pas vraiment l’exemple pour la défense de la retraite à 60 ans si l’on en croit le site Question(S) Sociales(S) animé par un journaliste du « Monde ».

 

En effet, son secrétaire général, Jean-Claude Mailly, qui vient justement d’atteindre l’âge fatidique et que beaucoup d'observateurs donnaient partant lors du prochain congrès de Force ouvrière à Tours en 2015, a manifesté clairement sa volonté de se représenter

 

Elu en 2004, le secrétaire général de FO a indiqué, mardi 26 novembre, lors du « grand rendez-vous » de l'Association des journalistes de l'information sociale (AJIS), qu'il avait l'intention de se représenter pour un quatrième mandat. « Je suis en pleine forme, a-t-il déclaré. Je n'exclus rien et je suis plutôt dans une logique de repiquer si mes camarades veulent encore de moi. ».

 

Si son « envie de repiquer » pour un nouveau mandat de trois ans en 2015 se réalise cela nous mènera donc à 2018. Jean-Claude Mailly aura alors atteint l’âge de 65 ans. L’heure des braves ? A moins que Force Ouvrière repousse encore plus loin l’âge de la retraite ?

 

En tout cas avec quatorze ans de mandat si il égale presque la durée de son prédécesseur à la tête de Force Ouvrière, Marc Blondel, il aura du mal à atteindre le record d’André Bergeron qui a tenu lui vingt six ans à la tête du syndicat.

 

Publié également sur " Miroir Social "




                            Jean-Claude Mailly prêt à descendre dans le rue pour défendre son emploi

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                                                             - Non aux retraités !

 

 

 

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 10:39

 

Le Parisien : Le 7 décembre 2013

C’est une des premières conséquences de la grève de jeudi

Au lendemain de la grève des agents d’accueil et de surveillance qui a condamné le musée Carnavalet (IIIe) à rester fermé jeudi, une réunion fixée de longue date s’est tenue hier matin entre Delphine Lévy, directrice de Paris Musées, Valérie Guillaume, la nouvelle directrice de Carnavalet et l’intersyndicale CGT-UNSA-CFTC-CFDT-SUPAP-FO.

« Nous avons obtenu qu’un cadre contractuel de catégorie A, ancien militaire aux méthodes managériales brutales et autoritaires, n’ait plus aucun contact avec le personnel », a indiqué Dominique Quénéhen, membre de la CGT Paris-Musées, à l’issue de la rencontre.

De son côté, Delphine Levy explique : « L’encadrement de la surveillance ne sera plus sous l’autorité directe de cette personne, puisque nous allons créer un nouveau poste de chef de la surveillance qui prendra ses fonctions au premier trimestre 2014 ».

Lire l’article du « Parisien »

 

 

                     A Carnavalet, l'ancien militaire, mis au placard, a arrêté son char

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                                     - Beh, c'était bien la peine de venir à 6h du matin le jour de la grève !

 

 

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La Mairie de Paris condamnée pour absence de local syndical

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 13:17

 

Le Parisien: Le 6 décembre 2013

 

Un mouvement social suivi à 80 % par les personnels

L’établissement municipal consacré à l’histoire de Paris, est resté fermé hier en raison de la grève des agents d’accueil et de surveillance, suivie à 80% selon l’intersyndicale CGT-UNSA-CFTC-CFDT-SUPAP-FO.

Ce mouvement social intervient quatre jours après la prise de fonction de la nouvelle directrice du musée Carnavalet, Valérie Guillaume. Elle succède à Jean-Marc Léri, parti en retraite.

D’après la CGT, « la gestion du personnels est calamiteuse et plusieurs salariés sont en arrêt maladie pour des motifs psycho-sociaux ». A ce malaise, s’ajoute la question des primes de fin d’année attribuées de façon discrétionnaire.

Autant de sujets qui seront abordés ce matin lors de la réunion entre Delphine Levy, directrice de Paris-Musées, Valérie Guillaume et l’intersyndicale

Lire l’article du « Parisien »

 

 

               L'ancien directeur de Carnavalet, Jean-Marc Léri, est vraiment parti à temps à la retraite

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                                                      - Ah,ah ! Après moi, le déluge !

 

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 08:33

 

Bien que le plombier ne soit pas polonais, il fallait quand même savoir parler anglais !

 

« Un recrutement dans l’extravagance ! ». C’est ainsi que le syndicat UCP (Union des Cadres Parisiens) dénonce la manière dont a été recruté le DRH de l’Ecole de Physique- Chimie de la Ville de Paris (ESPCI).

Cet établissement qui dépend directement de la mairie de Paris a, il est vrai, des pratiques assez inédites dans l’art de faire passer un entretien d’embauche. Pour le syndicat des cadres ce recrutement est même placé « sous le signe de la déraison et de la bizarrerie » (lire ici). Un langage auquel le syndicat n’est pourtant guère coutumier.

Il faut dire que pour recruter son nouveau Directeur des Ressources Humaines, l’école municipale s’est d’abord affranchie de la loi Toubon. Pas très sympa pour un ministre pourtant ancien élu de la capitale. En effet, si l’on en croit l’UCP « certains candidats on eu des entretiens en anglais, alors que l’usage de la langue française est une obligation pour tout fonctionnaire ».  Surtout pour un DRH indeed !

Mais là où le syndicat manque de s’étrangler, c’est que certains candidats à ce poste de direction « auraient eu un entretien avec un plombier » Après tout pourquoi pas, les questions statutairse à la Ville de Paris ne sont pas très éloignées des problèmes de tuyauteries.

Mais surprise dans la clé de douze, le plombier en question ne serait pas que plombier, il serait aussi « qui plus est syndicaliste », selon l’UCP qui en perd aussi son latin. En tout cas, c’est un bel exemple de co-gestion municipale, bien que l’on ignore l’organisation à laquelle appartient notre plombier-recruteur.

Le syndicat UCP qui « condamne ces méthodes insensé » souhaite néanmoins dans un esprit des plus fluctuat bon courage au futur DRH « qui n’y est pour rien et qui va devoir appliquer la réglementation en matière de ressources humaines dans un tel environnement ». Toutefois, même dans un tel environnement, il devrait savoir quoi faire en cas de fuite d’eau et ça, c’est on ne peut plus mergitur !

Publié également sur " Miroir Social "

 

 

                             Paris:  A l'école de physique-chimie, le plombier doit-il aussi parler anglais ?

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                 -  Yes indeed, and especially with ze manager director at the school of chemistry of capitale

 

 

 

 

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